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FAQ

Quelle posture adopter dans une démarche de mécénat ?

  • Photo du rédacteur: Anna Chemery
    Anna Chemery
  • 3 sept.
  • 2 min de lecture

Demander du mécénat suscite souvent des doutes :

  • Comment parler d’argent sans se sentir « marchand » ?

  • Comment rester aligné avec ses valeurs ?

  • Comment assumer la valeur de ce que l’on propose ?

Ces questions sont légitimes. Car le mécénat n’est pas une transaction commerciale : c’est une relation de coopération.


Une posture d’alliance

Plutôt que de se positionner en « demandeur », il s’agit de se voir comme partenaire. Une structure d’intérêt général propose à une entreprise de contribuer à un projet commun d’utilité sociale.

Adopter cette posture, c’est être clair sur ses besoins, assumer la valeur de son action, mettre en avant son impact et respecter ses propres principes.


La force de la clarté

Un mécène sera plus à l’aise si vous exprimez avec simplicité :

  • Le montant ou le type de soutien attendu,

  • L’usage prévu des fonds,

  • Les impacts escomptés.

Exemple : dire « nous avons besoin de 20 000 € pour équiper 50 jeunes en matériel informatique » est plus convaincant qu’un appel vague à soutien.


Une posture qui se travaille

La posture n’est pas innée, elle se prépare. Un bon exercice consiste à présenter son projet à l’oral, sans support, en deux minutes. Si vous pouvez le faire avec clarté et conviction, vous êtes prêt.


Conclusion

La posture est souvent ce qui fait la différence entre un échange qui inspire confiance et une rencontre qui laisse indifférent.


À retenir :

Le mécénat n’est pas une demande mais une proposition d’alliance.

Être clair et aligné avec ses valeurs renforce la crédibilité.

La posture s’apprend et s’affine avec l’expérience.


Conseil : Entraînez-vous à parler de votre projet avec simplicité et conviction. La sincérité est votre meilleur atout.

 
 

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